DÉCRYPTAGE - Paradoxalement, alors que la baisse du nombre de véhicules mis sur le marché est significative, le constructeur parvient à tirer son épingle du jeu. Explications.
Renault a trouvé un peu de répit malgré la crise des semi-conducteurs qui chahute sa production industrielle. Paradoxalement, la crise facilite la mise en place du plan d’économie et de montée en gamme du constructeur. Lui aussi profite d’un meilleur niveau de marge dû à la baisse du nombre de véhicules mis sur le marché. «Nous avons assaini nos canaux de distribution et nous vendons davantage de véhicules plus rentables avec des niveaux de marge supérieurs. C’est le cas des ventes aux particuliers. Celles avec les loueurs sont beaucoup plus réduites», souligne un cadre du Losange.
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Luca de Meo applique la méthode du «pricing power», théorisée par Carlos Tavares. Les ventes des hybrides rechargeables et des hybrides, uniquement disponibles en version haut de gamme, se portent bien.
Ces derniers mois, Renault a aussi lancé de nombreux partenariats pour se projeter dans l’avenir. Dans l’hydrogène, avec la création de son entreprise conjointe avec PlugPower. Il a également pris une participation
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