Plus lourdes, plus équipées, plus chères… Tel était ces dernières années le mantra de l’industrie automobile, qui tout en affichant des marges et bénéfices records, laissait, dans le sillage de sa montée en gamme, de plus en plus d’automobilistes modestes sur le carreau.
Après la visite du GIMS (Geneva International Motor Show) lundi, on se gardera bien d’avoir des conclusions péremptoires. D’autant plus qu’après quatre ans d’absence, ce qui a longtemps été le plus important salon du monde n’est plus qu’un imparfait baromètre. L’industrie n’est représentée que par 33 marques, - et seules quelques majeures - contre une centaine en 2019, lors de la dernière édition.
Mais il...
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