DÉCRYPTAGE - À l’heure de la recherche de l’efficience, ce dérivé de la berline, qui constitue une alternative au SUV, se redécouvre.
Les «breakophiles» sont des connaisseurs. Certes, peu nombreux puisqu’il s’est vendu neuf fois moins de breaks que de SUV ou de berlines l’an dernier en France (5,1 % des immatriculations), mais ils savent que ces véhicules représentent la meilleure formule lorsqu’il s’agit de concilier élégance, praticité, agrément de conduite - le centre de gravité est plus bas que celui d’une architecture haute -, sobriété et discrétion. Les breaks ont la particularité de se fondre admirablement dans le paysage.
À l’heure où les censeurs et les apôtres de la vérité veulent la peau des SUV pour d’obscures raisons, ces dérivés de berline pourraient bien retrouver des couleurs. Marques généralistes ou acteurs du premium: quasiment tous les constructeurs continuent d’en proposer à leurs catalogues.
À lire aussiVolkswagen ID.7 Tourer, du style et du volume
On l’oublie trop souvent: ces véhicules longtemps associés à un usage commercial sont corvéables à merci. Le hayon arrière dégage un vaste accès en réduisant au minimum le seuil de chargement. La capacité et la…
Bagikan Berita Ini
0 Response to "Automobile: pourquoi le break n'a pas dit son dernier mot - Le Figaro"
Post a Comment