
Publié le 6 juil. 2023 à 19:47Mis à jour le 6 juil. 2023 à 20:00
Si on ne l'avait pas encore compris, l'arbitre des élégances et des grands mariages automobiles habite Bercy. Le satisfecit attribué par le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, au patron de Renault, Luca de Meo , trouve son contrepoint dans le bonnet d'âne posé sur la tête de Carlos Tavares, celui de Stellantis.
L'un est félicité pour ne pas désespérer Douai réinventé en coeur palpitant de la future « battery valley » de l'électrique tricolore, l'autre relégué au rang des mauvais élèves de la réindustrialisation malgré la création d'un champion mondial à base européenne.
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