
C'est le jackpot pour Stellantis, le géant automobile né de la fusion du français PSA (Peugeot - Citroën) et de l'italo-américain Fiat-Chrysler. Le constructeur vient d'annoncer un bénéfice record de 11 milliards d'euros sur les six premiers mois de l'année, soit une hausse de 37 % par rapport à l'année dernière. Malheureusement, ces excellents résultats ne profitent pas vraiment à l'industrie française. Depuis 2000, la production du groupe dans l'Hexagone a été divisée par trois, en passant d'1,6 million de voitures par an à seulement 535 000 en 2021.
Le mouvement touche l'ensemble de la filière. L'an dernier, le déficit commercial automobile a chuté à près de 20 milliards d'euros, selon les chiffres des douanes, alors que la situation était parfaitement inverse il y a vingt ans. Pour se rendre compte de l'ampleur du naufrage, Marianne s'est penché sur les chiffres de production dans l'Hexagone fournis par le Comité des constructeurs français automobiles (CCFA). Nous avons retenu les données des groupes historiquement français : Renault et Stellantis (hors Fiat-Chrysler).
Dégringolade
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