Peu épargné par les crises et les tourments, ce prestigieux label italien s’apprête à renaître autour d'une gamme de véhicules électriques. Le premier modèle prend la forme d’une citadine.
Avec la renaissance de Lancia, Carlos Tavares est en passe d'honorer sa promesse de ne sacrifier aucune des quatorze marques issues de la fusion des groupes PSA et Chrysler-Fiat. La résurrection de ce label prestigieux ne manque pourtant pas d'interroger. Qui attend Lancia ? Plus grand monde, à part les Italiens. Il faut bien avouer que cette marque plus que centenaire a été sabotée à force d'être bringuebalée entre élégance à l'italienne et sportivité.
Depuis que la firme fondée par Vincenzo Lancia en 1906 a intégré le groupe Fiat, elle n'a jamais réussi à cohabiter avec Alfa Romeo. Le coup de massue arrive sous le mandat de Sergio Marchionne. En 2011, il était décidé de lier le sort de Lancia à celui de Chrysler. À part la citadine Ypsilon conçue à partir de la Fiat Panda, les nouveaux modèles de la marque italienne deviennent alors des véhicules américains rebadgés : sous les traits du cabriolet Flavia se cache l'obsolète C200, la Thema n'est qu'une berline 300C accommodée la…
Bagikan Berita Ini
0 Response to "Automobile : Lancia, une renaissance à l'italienne - Le Figaro"
Post a Comment