
« Regardez autour de vous, il n'y a aucune photo de Xi Jinping au mur, ni de drapeau du Parti communiste chinois ! » Julien Robert, vice-président en charge des ventes de MG Motor France, désigne un vaste plateau paysager où s'affairent quelques dizaines de salariés. Avouons-le : en montant au neuvième étage de cet immeuble de Courbevoie (92) avec vue panoramique sur le Sacré-Coeur et la tour Eiffel, on se demandait à quoi s'attendre. Car ici, nous sommes sous pavillon chinois.
Il y a bientôt trois ans, les émissaires du puissant conglomérat Shanghai Automotive Industry Corporation (SAIC), propriétaire de la marque MG, ont posé là leurs valises pour se lancer à la conquête du marché français. Pas de choc des cultures, donc ? « Au départ, il y avait un peu d'inquiétude, admet Julien Robert. Mais les Chinois sont malins, ils font la différence entre politique et business et nous laissent une grande autonomie. » Son équipe, essentiellement française, est constituée de jeunes cadres expérimentés venus de Porsche, Audi, Mazda, Hyundai… Les représentants de la République populaire, eux, ne sont que trois sur place.
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