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Sophistication extrême et conduite cheveux au vent, c’est la recette de la Mercedes SL depuis près de soixante-dix ans. Un parcours sans faute.
Par Yves Maroselli
Temps de lecture : 2 min
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Tout a commencé en 1952, avec les débuts victorieux de la Mercedes SL (pour Sport Leicht, ou voiture de sport légère), qui remporte coup sur coup les 24 Heures du Mans et l'épreuve mexicaine Carrera Panamericana. Flairant le filon commercial, Max Hoffman, l'importateur de la marque allemande pour le marché nord-américain - où la demande pour l'automobile de luxe est en train d'exploser -, réclame à cor et à cri une version routière de celle qui n'était alors qu'une spartiate voiture de course.
Il obtient satisfaction en 1954 avec le lancement du fameux coupé 300 SL, surnommé « Gullwing » (ailes de mouette) en raison de la cinématique des portes articulées au niveau du toit. Spectaculaire, mais peu pratique, cette carrosserie sera complétée en 1957 par une version roadster à capote soupl...
Mercedes-Benz AG (x2)
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